https://major-prepa.com › culture-generale › nietzsche-corps-maitre-ame

Le corps est réel. La pensée de Nietzsche du corps se fait en parfaite opposition à la tradition philosophique antique et chrétienne: ses textes s’opposent aussi bien à Platon (pensée antique), au Christ (pensée catholique) qu’à la bêtise de “la foule” et son ignorance.

https://www.universalis.fr › encyclopedie › corps-notions-de-base › 5-le-corps-force-creatrice

La lecture de Schopenhauer va permettre à Nietzsche de rejeter ces deux approches et de réhabiliter le corps. Observé sous l’angle du temps, et non plus de l’espace, le corps se manifeste selon Nietzsche comme le point culminant d’un jeu cosmique sans commencement ni fin.

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En définitive, le corps chez Nietzsche est une configuration énergétique provisoire, toujours en devenir, condamnée à changer de forme et de statut comme toute autre configuration énergétique. Cette remarque est capitale aussi pour comprendre l’approche généalogique que Nietzsche développera par la suite. La généalogie peut être ...

https://synergologie.org › docs › nietzsche-un-penseur-du-corps

Nietzsche (1844-1900), intéresse le langage corporel à la fois par sa perspective moniste des rapports corps-esprit et par le rôle qu’il fait jouer au corps dans la compréhension du réel. Un corps auquel il croit. Pour Nietzsche la puissance du corps à un lien direct avec la dynamique de l’être.

https://unphilosophe.com › 2015 › 05 › 04 › de-corpus-ou-nietzsche-ressuscite

Chez Nietzsche, le corps est d’abord un « corps vécu » plutôt qu’un « corps objet de la connaissance scientifique ». Comme Kant, d’après Nietzsche, toute connaissance provient et se fonde sur la sensibilité.

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Le corps chez Nietzsche est donc cette pluralité de forces hiérarchisées entre des êtres vivants parcellaires (organes, tissus, cellules) qui sont d’espèces apparentées, sans quoi ils ne sauraient servir et obéir les uns aux autres, échanger temporairement leurs rôles de dominants et de dominés.

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Nietzsche renverse alors la hiérarchie traditionnelle entre le corps et la conscience, il place le corps comme premier et la conscience comme dérivative de ce dernier. Le corps apparait comme la matière première de tout étant. Vivants et non vivants sont des produits de la terre, produits du monde. Leur différence n’est plus essentielle ...

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Nietzsche prend pour point de départ de son interprétation le monde qu'il considère comme nous étant donné et le mieux connu, à savoir le corps [51]. Il prend ainsi, jusqu'à un certain point, le contre-pied de Descartes , pour qui notre esprit (notre réalité pensante) nous est le mieux connu.